samedi 7 juin 2014

Vendredi 06 juin 2014 à la Maison de la Culture à 18 h

Soirée de clôture de la saison 2013-2014 avec 

Projection du film  "Jimmy P

 

Carte Blanche à Samir Ardjoum  journaliste critique au journal El Watan

 Bande annonce

Après la Seconde Guerre mondiale, Jimmy Picard, un vétéran nord-amérindien de la tribu des Pieds-Noirs est admis au Winter Veteran Hospital de Topeka au Kansas fondé par le psychiatre Karl Menninger. Souffrant de maux de tête, d'absences et de crises d'angoisse incontrôlables qu'aucun médecin ne réussit à relier à une cause physiologique liée à un accident survenu en France, il est pris en charge par Georges Devereux, un ethnologue français originaire d'Europe centrale, spécialiste des cultures amérindiennes.
Rapidement, Georges Devereux écarte le diagnostic de schizophrénie et considère que son patient — qui sera le seul et unique durant des mois — souffre de névrose et de problèmes psychologiques, liés à la fois à ses origines familiales et ethniques, qui se sont déclarés à la suite du choc post-traumatique de la guerre. Élevé par une mère à forte personnalité puis par une sœur également directive, en l'absence de père, Jimmy Picard est en décalage social et culturel avec l'Amérique blanche. Au fil des séances quotidiennes de psychothérapie — Devereux n'est alors ni médecin, ni psychanalyste —, se tissent des liens particuliers d'amitié entre le patient et le thérapeute qui s'attache à interpréter les rêves de Jimmy Picard tout autant avec une dimension anthropologique, liée aux mythes indiens, qu'au travers de l'invariant universel freudien du complexe d'Œdipe. Petit à petit Jimmy Picard prend conscience que ses rapports vis-à-vis des femmes sont ceux d'un homme dominé et lâche, ayant lui-même abandonné avant-guerre, sur un malentendu, sa compagne — Jane, morte depuis —, alors enceinte de leur fille avec laquelle il n'a plus de contact depuis quinze ans. Grâce à Devereux, il entreprend un processus de guérison — qui aboutira à une proposition d'« adoption » de sa fille naturelle — mais également de questionnement sur sa foi et sa culture.
Jimmy P. (Psychothérapie d'un Indien des plaines) (titre en anglais : Jimmy P. (Psychotherapy of a Plains Indian) est un film français réalisé par Arnaud Desplechin, présenté en compétition lors du 66e Festival de Cannes et sorti en France en salle le 11 septembre 2013.
avec Benicio del Toro : Jimmy Picard, ,Mathieu Amalric : Georges Devereux, Gina McKee  : Madeleine, Larry Pine : Docteur Karl Menninger, Joseph Cross : Docteur Holt, Elya Baskin : Docteur Jokl, Michelle Thrush : Gayle Picard, Misty Upham : Jane , Gary Farmer : Jack

 

 
















jeudi 29 mai 2014

Vendredi 30 mai 2014 à la Maison de la Culture à 18 h

Projection du film  "Violeta"

Bande annonce 

Violeta (titre original « Violeta se fue a los cielos », littéralement « Violeta est allée au Paradis ») est un film chilien réalisé par Andrés Wood en 2012. Il a été présenté au Festival de Sundance 2012 où il a remporté le Prix du jury international pour une fiction.

Le film décrit la vie de l'artiste Violeta Parra, basé sur le livre biographique Violeta se fue a los cielos de Ángel Parra, le fils de Violeta avec Luis Cereceda Arenas.
 Violeta del Carmen Parra Sandoval (4 octobre 1917 - 5 février 1967), chanteuse, poète et peintre, est une véritable icône de la culture chilienne. le film « Violeta » retrace le destin d’une femme hors du commun, ses succès et sa déchéance. De son enfance aux côtés d’un père alcoolique, en passant par son apprentissage de la guitare, son rapport brutal et déterminé à la maternité et au monde, ses engagements esthétiques et politiques, jusqu’à sa fin tragique.
Rythmé par ses chants poignants et minéraux, tout droit sortis des entrailles de la terre chilienne, et construit avec une grande liberté, le portrait de cette artiste tourmentée et passionnée est porté avec une grâce magnétique par Francisca Gavilan.
  


Violeta Parra 

jeudi 22 mai 2014

Vendredi 23 mai 2014 à la Maison de la Culture à 18 h

Projection du documentaire  "La soif du monde"

 Bande annonce du documentaire

 

  •             Serons-nous capables d’imaginer une nouvelle culture de l’eau ?
    — Yann Arthus-Bertrand



Le film


Après HOME et la série Vu du Ciel, le film documentaire de 90 minutes LA SOIF DU MONDE de Yann Arthus-Bertrand, réalisé par Thierry Piantanida et Baptiste Rouget-Luchaire propose un nouveau voyage autour de la terre.
Cette fois-ci le célèbre photographe s’intéresse à l’un des enjeux majeurs pour la survie des populations : l’EAU. Aujourd’hui, dans un contexte de forte croissance de la demande, d’augmentation de la population mondiale et d’aggravation des effets des dérèglements climatiques, l’eau est devenue l’une des plus précieuses richesses naturelles de notre planète Fidèle à la réputation de Yann Arthus-Bertrand, LA SOIF DU MONDE, tourné dans une vingtaine de pays, révèle le monde mystérieux et fascinant de l’eau douce grâce à de spectaculaires images aériennes tournées dans des régions difficiles d’accès et rarement filmées, tel que le Soudan du Sud ou le nord du Congo ; découvertes aussi des plus beaux paysages de notre planète, lacs, fleuves, marais, dessinés par l’eau.
LA SOIF DU MONDE fait donc le pari de confronter la fameuse vision aérienne du monde de Yann Arthus-Bertrand avec la dure réalité quotidienne de tous ceux qui sont privés d’eau, en meurent parfois et se battent sur le terrain pour se procurer l’eau, l’épurer ou l’apporter à ceux qui en manquent.
Le film est tissé de rencontres. Un berger du nord Kenya nous dit dans les yeux qu’il a tué pour de l’eau et qu’il le fera encore. Des femmes dansent lorsque l’eau arrive enfin dans leur village. Une ambassadrice des Nations Unies atypique explique son combat pour que les gouvernements s’engagent eux aussi pour permettre l’accès à l’eau et aux techniques les plus modernes d’épuration, garantes de la survie et de la santé des populations les plus pauvres.
Des reportages réalisés en Europe, en Afrique, en Asie, en Amérique, donnent la parole à ceux qui s’engagent et innovent, afin d’apporter l’eau où elle manque, l’utiliser plus intelligemment, l’épurer ou mieux encore cesser de la polluer.
Des personnalités attachantes, reconnues internationalement ou simples acteurs de terrain, illuminent le film de leur énergie, de leur imagination et de leur enthousiasme…
Car l’accès à l’eau potable est plus que jamais le grand enjeu de demain.

 

jeudi 15 mai 2014

Vendredi 16 mai 2014 à la Maison de la Culture à 18 h

Projection du film- événement  "WADJDA"

Wadjda est une jeune fille saoudienne de douze ans. Elle vient d'un milieu conservateur. Cependant, Wadjda écoute de la musique rock, porte des Converse et des jeans. Mais un jour, sa vie change alors qu' elle aperçoit un vélo. Malgré l'interdiction faite aux femmes d'avoir un vélo, elle s'inscrit au concours de récitations coraniques de son école pour obtenir le premier prix : elle aura ainsi, la somme tant espérée pour acheter le vélo et faire la course avec son ami Abdallah.

Wadjda est un drame germano-saoudien réalisé par Haifaa al-Mansour, sorti en 2013.Il s'agit du premier long métrage officiel produit par l'Arabie saoudite. Il est sélectionné pour représenter l'Arabie saoudite aux Oscars du cinéma 2014 dans la catégorie meilleur film en langue étrangère. Réalisation et scénario de Haifaa El Mansour avec   Waad Mohammed ( Wadjda),  Reem Abdullah (la mère de Wadjda),  Abdullrahman Al Gohani ( Abdullah, le jeune voisin),    Ahd ( Mlle Hussa, la directrice de l'école), Sultan Al Assaf (le père de Wadjda),  Dana Abdullilah ( Salma),  Rehab Ahmed (Noura),  Rafa Al Sanea (Fatima).


Récompenses
Nominations et sélections
 

 

lundi 12 mai 2014

   Présentation du Ciné Club de Mascara , idée et film de Farid HERDA , revu et arrangé par Daho HAMDANI

Ciné Club de Mascara (Le Film)