vendredi 14 novembre 2014

Vendredi 21 novembre 2014 à la Maison de Culture à 17 h

  Projection du film  "Snatch"

 Bande annonce

Snatch : Tu braques ou tu raques (Snatch) est un film britannique réalisé par Guy Ritchie et sorti en 2000.

Le film a été tourné dans le même esprit et avec une partie du casting (Jason Statham, Vinnie Jones, Alan Ford et Jason Flemyng) du premier film de Guy Ritchie, Arnaques, Crimes et Botanique, et entremêle deux intrigues différentes. L'une autour d'un diamant volé que différentes personnes cherchent à récupérer et l'autre autour d'un petit organisateur de combats de boxe à mains nues, qui a des problèmes avec un caïd de la pègre londonienne. Cependant, alors que dans le premier film de Guy Ritchie, un groupe d'amis se trouvaient mêlés par inadvertance au monde de la drogue et du crime, les personnages de Snatch font, quant à eux, intégralement partie de l'univers du crime londonien.
Titre original : Snatch
Réalisation : Guy Ritchie
Scénario : Guy Ritchie
Décors : Hugo Luczyk-Wyhowski
Costumes : Verity Hawkes
Photographie : Tim Maurice-Jones
Montage : Jon Harris
Musique : John Murphy
Production : Matthew Vaughn

Distribution
    Jason Statham (VF : Boris Rehlinger) : Turkish
    Stephen Graham (VF : Damien Witecka) : Tommy
    Brad Pitt (VF : Jean-Pierre Michael) : Mickey O'Neil
    Alan Ford (VF : Jean-Pierre Moulin) : « Tête de brique »
    Dennis Farina (VF : Michel Fortin) : Cousin Avi Denovitz
    Vinnie Jones (VF : Guillaume Orsat) : Tony « Dents de plomb »
    Rade Serbedzija (VF : Yves Barsacq) : Boris « le Hachoir » Yurinov
    Robbie Gee (VF : Lucien Jean-Baptiste) : Vinny
    Lennie James (VF : Jean-Paul Pitolin) : Sol
    Mike Reid (VF : Henry Djanik) : Doug « le Cerveau »
    Benicio del Toro (VF : Bernard Gabay) : Franky « Quatre doigts »
    Ade (VF : Jean-Jacques Nervest) : Tyrone
    Sam Douglas (VF : Pascal Casanova) : Rosebud
    Jason Flemyng : Darren
    Adam Fogerty : Glorieux Georges
    Goldie : Lincoln
    Andy Beckwith : Errol
    Ewen Bremner : Mullet
    Sorcha Cusack : Mrs O'Neil

Vendredi 14 novembre 2014 au Jardin Pasteur  à 17 h

  Projection du film  "Les 400 coups"


Les 400 coups (Bande annonce) 



 

Drame de Nationalité Française 1959
Réalisé par François Truffaut
Avec Jean-Pierre Léaud, Claire Maurier, Albert Rémy
(1h33min)


Synopsis :


Largement autobiographique, le film raconte l'enfance difficile d'Antoine Doinel, ses relations avec ses parents, ses petits larcins qui lui vaudront d'être enfermé dans un centre pour mineurs délinquants.

À la fin des années 1950, Antoine Doinel, 12 ans, vit à Paris entre une mère peu aimante et un beau-père futile. Il plagie la fin de La Recherche de l'absolu lors d'une composition de français. Le professeur lui attribue la note zéro au grand désarroi d'Antoine, qui, en fait, se rappelait involontairement le passage qu'il avait lu récemment.

Antoine Doinel éprouve une admiration fervente pour Honoré de Balzac. Il lui a consacré un autel, une bougie éclaire un portrait de l'écrivain et met le feu à un rideau, provoquant la colère de son beau-père. De plus, malmené par un professeur de français autoritaire et injuste, il passe, avec son camarade René, de l'école buissonnière au mensonge. Puis c'est la fugue, le vol d'une machine à écrire et le commissariat. Ses parents, ne voulant plus de lui, le confient à l'« Éducation surveillée ». Un juge pour enfants le place alors dans un Centre d'observation où on le prive même de la visite de son ami René. Profitant d'une partie de football, Antoine s'évade. Poursuivi, il court à travers la campagne jusqu'à la mer.

La spirale dans laquelle le jeune Antoine s'enfonce est décrite avec sensibilité mais aussi avec fermeté. Elle est rendue d'autant plus touchante que le film montre parallèlement la constante bonne volonté maladroite du héros. Le spectateur s'identifie aisément à Antoine Doinel, avec lequel Jean-Pierre Léaud, acteur débutant semble se confondre totalement. Le désarroi affectif et la fuite en avant de l'adolescent sont de toutes les époques.


Premier film de François Truffaut et de ce qui sera appelé la Nouvelle Vague, son succès révèle le jeune réalisateur au grand public. Quatre autres films viendront par la suite compléter la saga Antoine Doinel, toujours interprété par Jean-Pierre Léaud : Antoine et Colette (dans le film à sketches L'Amour à vingt ans) en 1962, Baisers volés en 1968, Domicile conjugal en 1970 et L'Amour en fuite en 1979.