jeudi 24 avril 2014

Vendredi 18 avril 2014 à la Maison de la Culture

Projection du film "Un été à Osage County "


En Oklahoma, au mois d'août dans le comté d'Osage. Beverly Weston est un ex-poète alcoolique, tandis que sa femme, Violet, souffre d'un cancer de la bouche et d'une accoutumance aux médicaments. Beverly embauche une cuisinière-aide soignante pour Violet.
Peu après le recrutement de Johnna, Beverly disparaît, ce qui amène une partie de la famille à se réunir pour le chercher, mais son corps est retrouvé quelques jours plus tard : il s'est suicidé. Les filles du couple, Barbara et Karen, avec Ivy, la seule des trois filles qui vit dans la région, viennent à l'enterrement de leur père, accompagnées par leurs familles.
Une série de conflits s'ensuit.

Un été à Osage County est un film dramatique américain réalisé par John Wells et sorti en 2013. C'est une adaptation de la pièce de théâtre August: Osage County de Tracy Letts, Avec : Meryl Streep ,Julia Roberts , Ewan McGregor ...


L’article de Samir Ardjoum paru au journal El Watan le 24/04/2014 et consacré à l’activité de notre Ciné Club 

Projection du film "La graine et le mulet"

 

lundi 21 avril 2014

L'interview de Daho TABETI par Farid HERDA

réalisée par Daho Hamdani

 

jeudi 17 avril 2014

Vendredi 18 avril 2014 au Jardin Pasteur

Projection du film "Shane, l'homme des vallées vertes"     présenté exceptionnellement par un ami et grand cinéphile        M. TABTI Daho


Shane, un aventurier solitaire, arrive dans une petite ville où les fermiers tentent de combattre les ranchers qui veulent s'approprier leurs terres. Ceux ci engagent un tueur pour éliminer les plus réticents. Shane s'installe chez une famille et devient l'ami du petit garçon. Il tente de les aider à se battre et à garder leur ferme.



"Shane L'homme des vallées perdues" est un film Américain de George Stevens avec Alan Ladd , Van Heflin , Jean Arthur , Brandon De Wilde , Walter Jack Palance (Jack Palance).C’est un western sorti en 1953 et basé sur le roman de l'écrivain américain Jack Schaefer. Ce western évoque la vie des cow-boys et des fermiers à l'époque du Far West.
 

La bande annonce 

samedi 12 avril 2014

VU ce soir au CINÉ-CLUB chronique de Mohamed ELKEURTI Président de l'Association 

La Strada 

Je viens d'assister avec le film, "LA STRADA" de Fellini (1954) à une performance d'acteur (actrice plutôt) des plus impressionnantes et des plus émouvantes. Giulietta Masina, sans surjouer, avec seulement des expressions faciales, campe un personnage d'ingénue, légèrement simplette,innocente, tout en nuances. Les mimiques, dignes des plus grandes grands stars du muet, contrebalancent la dimension dramatique du récit qui se termine quand même en tragédie.Giuletta Masina, malgré l'excellent rôle de composition de son partenaire, arrive à faire de l'ombre au géant américain pendant les 3/4 du film. Ce n'est que pendant la dernière partie- où justement "elle" n'est plus présente- qu'Anthony Quinn, brisé, culpabilisant, arrive à se transcender et à crever l'écran avec cette fin rédemptrice sur la plage où il finit par se laisser aller à un déluge de pleurs. 

jeudi 10 avril 2014

Vendredi 10 avril 2014 à 17h30 au Jardin Pasteur
Projection du film "La Strada"

En Italie, Zampano, un rustre costaud, forain ambulant spécialisé dans des tours de force, « achète », à une mère misérable, la gentille Gelsomina, une fille un peu attardée. Voyageant sur les routes dans une pauvre carriole au gré des humeurs de Zampano, Gelsomina seconde celui-ci lors de son grand numéro de briseur de chaînes. Le reste du temps, Zampano la traite comme bonne à tout faire sans lui accorder plus d’attention. À l’occasion d’une de leurs étapes, Gelsomina est fascinée par le gracile « fou » et son dangereux numéro de funambule. Ce dernier est le seul à comprendre la jeune femme.

La strada est un film italien réalisé par Federico Fellini et sorti en 1954.

 




VU ce soir au CINÉ-CLUB chronique de Daho HAMDANI ,membre  de l'Association 
"NO"
NO...NO...NO...
Dans le film NO , que je ne veux ici ni le résumer ni le présenter puisqu’on l’a vu et discuté ensemble au jardin Pasteur. Seulement ce qui m’a plu dans les péripéties de ce film basé hautement sur des faits véridique, c’est le rôle de l’information en général et celui de la TV en particulier. Au début de l’histoire, la majorité des partis de l’opposition était septique quand au bon déroulement du referendum remettant en cause la réélection de Pinochet. A quoi bon aller aux urnes puisqu’il sera réélu ; Ça c’était l’avis des « politisés » .Quand à l’avis des petites gens, à l’instar de la femme de ménage à qui on a demandé son avis : tout ne va pas si mal, on vit maintenant normalement, et l’économie va son train…Oubliant le caractère féroce du système dictatorial , son oligarchie, ses purges et tortures, les personnes disparues…
Il a fallu alors de l’ouverture d’une petite lucarne de 15 mins et que la TV joue pendant ce temps concédé son rôle de média objectif pour que les consciences s’éveillent pour que la vérité émerge et que la démocratie naisse (si ce n’est trop dire)…
Jusqu’ici le conte (réel) se déroule bien.
Mais il ne faut pas oublier malheureusement que pendant les vérifications des bulletins le démon de la falsification était prêt a entrer en action (le NON -Pinochet -; 57,36 LE oui – opposition- : 40,54 )
Mais après la scène ou l’on voit les généraux lâcher le dictateur, l’ordre des choses fut rétabli
(LE oui –Opposition- : 54,68 le NON –Pinochet- ; 43,04 )
A partir de là, c’est une autre histoire

vendredi 4 avril 2014


Vendredi 4 avril 2014 à 17h30 au Jardin Pasteur

Projection du film "NO"

En 1988, au Chili, le dictateur Augusto Pinochet, poussé par la pression internationale, accepte d'organiser un référendum, qui indiquera si le peuple souhaite le voir rester au pouvoir. Alors que la campagne médiatique se prépare, l'opposition décide de faire appel à René Saavedra, jeune et brillant publicitaire qui ne manifeste aucun intérêt pour la politique. Avec des moyens limités et sous constante surveillance policière et militaire, Saavedra et ses équipes élaborent des spots de campagne pour le camp du «non». Ils choisissent d'adopter un ton léger et optimiste plutôt que de revenir sur les atrocités du passé... 

No est un drame chilo-mexicano-américain coproduit et réalisé par Pablo Larraín et sorti en 2012 avec Gael García Bernal dans le rôle du publicitaire  René Saavedra  

La Bande annonce du film

  Le spot publicitaire des opposants



En 1988, au Chili, le dictateur Augusto Pinochet, poussé par la pression internationale, accepte d'organiser un référendum, qui indiquera si le peuple souhaite le voir rester au pouvoir. Alors que la campagne médiatique se prépare, l'opposition décide de faire appel à René Saavedra, jeune et brillant publicitaire qui ne manifeste aucun intérêt pour la politique. Avec des moyens limités et sous constante surveillance policière et militaire, Saavedra et ses équipes élaborent des spots de campagne pour le camp du «non». Ils choisissent d'adopter un ton léger et optimiste plutôt que de revenir sur les atrocités du passé...
En savoir plus sur http://television.telerama.fr/tele/films/no,47060162.php#HGD1RMHJK9tUppgE.99

En 1988, au Chili, le dictateur Augusto Pinochet, poussé par la pression internationale, accepte d'organiser un référendum, qui indiquera si le peuple souhaite le voir rester au pouvoir. Alors que la campagne médiatique se prépare, l'opposition décide de faire appel à René Saavedra, jeune et brillant publicitaire qui ne manifeste aucun intérêt pour la politique. Avec des moyens limités et sous constante surveillance policière et militaire, Saavedra et ses équipes élaborent des spots de campagne pour le camp du «non». Ils choisissent d'adopter un ton léger et optimiste plutôt que de revenir sur les atrocités du passé...
En savoir plus sur http://television.telerama.fr/tele/films/no,47060162.php#HGD1RMHJK9tUppgE.99

mardi 1 avril 2014

VU ce soir au CINÉ-CLUB chronique de Mohamed ELKEURTI Président de l'Association


  DEVINE QUI VIENT DINER?...


Il est vrai que le film date de 1967, que techniquement, il n'a rien de révolutionnaire( des images sages, un huis clos plein de travellings , du champ/contre-champ-à tout bout de champ!) mais cette histoire traitant d'un sujet audacieux à l'époque, le mariage interracial, aurait pu déboucher sur un film gnangnan, moralisateur et plein de poncifs (et il y a des moments où l'on frôle cela) mais alors quelle force dans le scénario (Oscarisé) dans les dialogues percutants, dans le jeu des acteurs ('Katharine Hepburn a eu un oscar mérité) et dans la manière dont le généreux Stanley Kramer nous mène par la main pour nous emmener vers un happy-ending hollywoodien certes mais tonifiant. Et puis Sidney Poitier a eu de ces phrases ..."Et on aura des enfants-métis- qui seront tous présidents...) Ah bon,? Tu crois?