Association agissant sur tout les aspects de la culture dans la région de Mascara. Le Ciné Club reste toutefois sa principale activité et vocation.
jeudi 24 avril 2014
jeudi 17 avril 2014
Vendredi 18 avril 2014 au Jardin Pasteur
Projection du film "Shane, l'homme des vallées vertes" présenté exceptionnellement par un ami et grand cinéphile M. TABTI Daho
Shane, un aventurier solitaire, arrive dans une petite ville
où les fermiers tentent de combattre les ranchers qui veulent s'approprier
leurs terres. Ceux ci engagent un tueur pour éliminer les plus réticents. Shane
s'installe chez une famille et devient l'ami du petit garçon. Il tente de les
aider à se battre et à garder leur ferme.
"Shane L'homme des vallées perdues" est un film Américain de
George Stevens avec Alan Ladd , Van Heflin , Jean Arthur , Brandon De Wilde ,
Walter Jack Palance (Jack Palance).C’est un western sorti en 1953 et basé sur le roman de l'écrivain américain Jack Schaefer. Ce
western évoque la vie des cow-boys et des fermiers à l'époque du Far West.
La bande annonce
samedi 12 avril 2014
VU ce soir au CINÉ-CLUB chronique de Mohamed ELKEURTI Président de l'Association
La Strada
Je viens d'assister avec le film, "LA STRADA" de Fellini (1954) à une
performance d'acteur (actrice plutôt) des plus impressionnantes et des
plus émouvantes. Giulietta Masina, sans surjouer, avec seulement des
expressions faciales, campe un personnage d'ingénue, légèrement
simplette,innocente, tout en nuances. Les mimiques, dignes des plus
grandes grands stars du muet, contrebalancent la dimension dramatique du
récit qui se termine quand même en
tragédie.Giuletta Masina, malgré l'excellent rôle de composition de son
partenaire, arrive à faire de l'ombre au géant américain pendant les 3/4
du film. Ce n'est que pendant la dernière partie- où justement "elle"
n'est plus présente- qu'Anthony Quinn, brisé, culpabilisant, arrive à se
transcender et à crever l'écran avec cette fin rédemptrice sur la plage
où il finit par se laisser aller à un déluge de pleurs.
jeudi 10 avril 2014
Vendredi 10 avril 2014 à 17h30 au Jardin Pasteur
Projection du film "La Strada"
En Italie, Zampano, un rustre costaud, forain ambulant spécialisé dans des tours de force, « achète », à une mère misérable, la gentille Gelsomina, une fille un peu attardée. Voyageant sur les routes dans une pauvre carriole au gré des humeurs de Zampano, Gelsomina seconde celui-ci lors de son grand numéro de briseur de chaînes. Le reste du temps, Zampano la traite comme bonne à tout faire sans lui accorder plus d’attention. À l’occasion d’une de leurs étapes, Gelsomina est fascinée par le gracile « fou » et son dangereux numéro de funambule. Ce dernier est le seul à comprendre la jeune femme.
La strada est un film italien réalisé par Federico Fellini et sorti en 1954.
VU ce soir au CINÉ-CLUB chronique de Daho
HAMDANI ,membre de l'Association
"NO"
NO...NO...NO...
Dans le film NO , que je ne veux ici ni le résumer ni le présenter puisqu’on l’a vu et discuté ensemble au jardin Pasteur. Seulement ce qui m’a plu dans les péripéties de ce film basé hautement sur des faits véridique, c’est le rôle de l’information en général et celui de la TV en particulier. Au début de l’histoire, la majorité des partis de l’opposition était septique quand au bon déroulement du referendum remettant en cause la réélection de Pinochet. A quoi bon aller aux urnes puisqu’il sera réélu ; Ça c’était l’avis des « politisés » .Quand à l’avis des petites gens, à l’instar de la femme de ménage à qui on a demandé son avis : tout ne va pas si mal, on vit maintenant normalement, et l’économie va son train…Oubliant le caractère féroce du système dictatorial , son oligarchie, ses purges et tortures, les personnes disparues…
Il a fallu alors de l’ouverture d’une petite lucarne de 15 mins et que la TV joue pendant ce temps concédé son rôle de média objectif pour que les consciences s’éveillent pour que la vérité émerge et que la démocratie naisse (si ce n’est trop dire)…
Jusqu’ici le conte (réel) se déroule bien.
Mais il ne faut pas oublier malheureusement que pendant les vérifications des bulletins le démon de la falsification était prêt a entrer en action (le NON -Pinochet -; 57,36 LE oui – opposition- : 40,54 )
Mais après la scène ou l’on voit les généraux lâcher le dictateur, l’ordre des choses fut rétabli
(LE oui –Opposition- : 54,68 le NON –Pinochet- ; 43,04 )
A partir de là, c’est une autre histoire
Dans le film NO , que je ne veux ici ni le résumer ni le présenter puisqu’on l’a vu et discuté ensemble au jardin Pasteur. Seulement ce qui m’a plu dans les péripéties de ce film basé hautement sur des faits véridique, c’est le rôle de l’information en général et celui de la TV en particulier. Au début de l’histoire, la majorité des partis de l’opposition était septique quand au bon déroulement du referendum remettant en cause la réélection de Pinochet. A quoi bon aller aux urnes puisqu’il sera réélu ; Ça c’était l’avis des « politisés » .Quand à l’avis des petites gens, à l’instar de la femme de ménage à qui on a demandé son avis : tout ne va pas si mal, on vit maintenant normalement, et l’économie va son train…Oubliant le caractère féroce du système dictatorial , son oligarchie, ses purges et tortures, les personnes disparues…
Il a fallu alors de l’ouverture d’une petite lucarne de 15 mins et que la TV joue pendant ce temps concédé son rôle de média objectif pour que les consciences s’éveillent pour que la vérité émerge et que la démocratie naisse (si ce n’est trop dire)…
Jusqu’ici le conte (réel) se déroule bien.
Mais il ne faut pas oublier malheureusement que pendant les vérifications des bulletins le démon de la falsification était prêt a entrer en action (le NON -Pinochet -; 57,36 LE oui – opposition- : 40,54 )
Mais après la scène ou l’on voit les généraux lâcher le dictateur, l’ordre des choses fut rétabli
(LE oui –Opposition- : 54,68 le NON –Pinochet- ; 43,04 )
A partir de là, c’est une autre histoire
vendredi 4 avril 2014
Vendredi 4 avril 2014 à 17h30 au Jardin Pasteur
Projection du film "NO"
En 1988, au Chili, le dictateur Augusto Pinochet, poussé par la pression internationale, accepte d'organiser un référendum, qui indiquera si le peuple souhaite le voir rester au pouvoir. Alors que la campagne médiatique se prépare, l'opposition décide de faire appel à René Saavedra, jeune et brillant publicitaire qui ne manifeste aucun intérêt pour la politique. Avec des moyens limités et sous constante surveillance policière et militaire, Saavedra et ses équipes élaborent des spots de campagne pour le camp du «non». Ils choisissent d'adopter un ton léger et optimiste plutôt que de revenir sur les atrocités du passé...
No est un drame chilo-mexicano-américain coproduit et réalisé par Pablo Larraín et sorti en 2012 avec Gael García Bernal dans le rôle du publicitaire René Saavedra
La Bande annonce du film
Le spot publicitaire des opposants
En savoir plus sur http://television.telerama.fr/tele/films/no,47060162.php#HGD1RMHJK9tUppgE.99
En
1988, au Chili, le dictateur Augusto Pinochet, poussé par la pression
internationale, accepte d'organiser un référendum, qui indiquera si le
peuple souhaite le voir rester au pouvoir. Alors que la campagne
médiatique se prépare, l'opposition décide de faire appel à René
Saavedra, jeune et brillant publicitaire qui ne manifeste aucun intérêt
pour la politique. Avec des moyens limités et sous constante
surveillance policière et militaire, Saavedra et ses équipes élaborent
des spots de campagne pour le camp du «non». Ils choisissent d'adopter
un ton léger et optimiste plutôt que de revenir sur les atrocités du
passé...
En savoir plus sur http://television.telerama.fr/tele/films/no,47060162.php#HGD1RMHJK9tUppgE.99
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En
1988, au Chili, le dictateur Augusto Pinochet, poussé par la pression
internationale, accepte d'organiser un référendum, qui indiquera si le
peuple souhaite le voir rester au pouvoir. Alors que la campagne
médiatique se prépare, l'opposition décide de faire appel à René
Saavedra, jeune et brillant publicitaire qui ne manifeste aucun intérêt
pour la politique. Avec des moyens limités et sous constante
surveillance policière et militaire, Saavedra et ses équipes élaborent
des spots de campagne pour le camp du «non». Ils choisissent d'adopter
un ton léger et optimiste plutôt que de revenir sur les atrocités du
passé...
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